top of page
ABIGAIL FERREIRA COMPAGNON
.Figurer le paysage c’est lui donner forme, le rendre « figure ». Alors ce qui se joue dans le portrait de paysage, c’est la relation intrinsèque de l’homme à la nature.
Cette relation est d’autant plus renforcée par les constituants communs présents dans ces deux identités. A la fois le corps humain et la nature révèlent la présence des quatre éléments. Ces derniers subissent des transformations, un cycle.
Matériaux naturels, fragiles à l’image de l’homme, qui vivent un cycle, fécond, ils renaissent à travers la production plastique : le chemin de la matière.
Ainsi finalement la représentation du paysage n’est-elle pas une forme de portrait, voire d’autoportrait ?
​
bottom of page